Point d'ancrage émotif

En nous attardant sur la définition juste de l’expression point d’ancrage, dans le domaine du management, nous pouvons en conclure que celui-ci représente une valeur ou un intérêt auquel nous ne saurions renoncer si nous avions a faire un choix. Le point d’ancrage émotif, représenterait donc, après mur réflexion, une valeur émotive a laquelle nous ne pouvons tourner dos, quel que soit la situation. Un port d’attache, un prolongement émotif de notre cru, au risque même de perde énormément d’actif et de pouvoir concurrentiel. A ce moment, il n’est même plus question de facilité en relation interpersonnel ou de quelconque compétence analytique d’une problématique, non la seule chose dont il est réellement question est de compétence émotive, c’est a dire de la capacité de chacun a être stimulé plutôt qu’affaibli par une tension émotive ou interpersonnel a même titre que le renforcement négatif en psychologie. Il parait qu’il n’y a rien de mieux que la colère pour produire, que la peine pour composer.. . Malgré la présence de ce point d’ancrage, il a y un vide qui sera probablement jamais comblé.

2008 : Une nouvelle année s'entame... et puis quoi?

2008 a finalement franchie le pant de la porte. Avec elle, s'est entamé ma nouvelle vie d'étudiante universitaire ( j'ai l'air si sérieuse en me caractériosant d'étudiante universitaire ! ). Qui dit université de Sherbooke, dis aussi Kudsak le mercredi ( merci les filles de me faire découvrir les joie d'être étudiante : j'ai de bonnes influences ;) !! ) Connaissant mon niveau d'encaissement de stress, il est donc inivitable de débuter les périples de Cath en parlant premièrement du nombre de pots de crème hydratante que j'ai du passer en moins de 2 semaines et demi. D'ailleurs des démarquation de gratouille ( NB : le multidictionnaire est sur le point d'accepter gratouille comme nom commun ayant pour définition : lorsque ça nous pique de façon continuelle ! ) sont visiblent un peu partout sur mon cher corps meurti. Être étudiante, c'est stressant ! Bref, mon entrée dans le monde inconstestable du capitalisme s'est fait avec merveille. Évidemment, je dois dire que mon comportement et mon style vestimentaire jure un peu dans cet univers de Vulton et de Lacoste ( merci chère surconsommation qui dirige nos vies ! L'alcool est considérée comme de la surconsommation ?? ) Pour continuer, il faut dire que j'ai rencontré quelques personnes vraiment sympatique donc, c'est bien ! La montérigie me manque quand même énormément ...

Capitalsite un jour capitaliste toujours, ... de retour à la quête de bénifices ! ....

Mon dieu, mais qu'est-ce que je fais en administration marketing?! Oufff